Par Gael Ondo le 11 octobre 2016
Dans ma vie, il y a DEUX FEMMES, je dirais même TROIS. D’abord il y a celle qui m’a mis au monde, ma mère, cette femme douce et courageuse qui nous a tous bien élevés et éduqués. On ne peut rien lui reprocher. Dieu m’a tellement aimé, Il m’avait choisi avant ma naissance pour que je le connaisse et que je parle de Lui à ma génération, alors Il m’a donné une maman qui croit en Lui. Non ce n’est pas un hasard, car ma mère m’a transmis la foi et par elle, j’ai connu Jésus le Seigneur et j’ai connu Dieu le Père. Je suis devenu l’homme que je suis par la grâce de Dieu (le Dieu de ma mère) et le meilleur est à venir. Seigneur, MERCI pour ma mère. ❤️
Puis il y a ma FEMME, non pas ma copine mais mon ÉPOUSE, la seule, l’unique, sans rivale et sans concurrence. C’est une femme formidable, joyeuse, très généreuse et qui sème beaucoup d’amour dans la vie des gens. C’est pourquoi elle récolte aussi de l’amour. On ne peut pas lui reprocher d’avoir haï quelqu’un. Dieu m’a tellement aimé qu’Il savait qu’il me fallait un partenaire qui allait challenger mon caractère et me pousser à plus m’ouvrir aux gens, de solitaire que j’étais. La femme aiguise son homme et l’homme aiguise sa femme, c’est un principe du couple. Seigneur, MERCI pour ma femme. ❤️
Et pour finir, Dieu m’a donné une fille. C’est une jolie fille qui ressemble à la lumière. Je ne sais pas qui elle deviendra, mais je sais que d’elle sortira l’excellence et une éclatante lumière qui éclairera sa génération. Dieu m’aime tellement, c’est pourquoi je suis sûr que cette fille sera une femme distinguée de grâce, et on verra en elle la beauté de la femme. Seigneur, MERCI pour ma fille. ❤️
Dieu m’a donc entouré de femmes et Il m’a ainsi appris à les comprendre et à les respecter. Car toute femme est la fille de quelqu’un, et elle est peut-être une épouse ou une mère. Respecte cette fille/femme que tu vois dehors comme tu aimerais que les hommes respectent ta fille et ne profitent pas d’elle, comme tu aimerais qu’on respecte ta femme et comme tu voudrais qu’on respecte ta mère. Voilà la sagesse, voilà l’intelligence.