Par Gael Ondo le 20 mai 2019
Eat healthy, pour ta propre santé. Mais peut-on encore manger saint dans cette société industrialisée et chimique ?
Pour produire à l’échelle industrielle, les industries doivent produire en grande quantité, càd bien plus que la nature n’en fournit naturellement. On en arrive donc à un épuisement des ressources naturelles, pour le consommateur et pour le profit.
Le consommateur n’est-il pas le premier concerné ? Mais le consommateur obèse n’a-t-il pas été berné et rendu accro au sucre de l’industrie, un monde industriel. Peut-être par la science parviendront-ils à produire une réelle alimentation bio, quoique, cela sera encore de la chimie, pas du naturel.
Allons-nous donc vraiment épuiser les ressources naturelles de la terre, qui était un jardin luxueux riche de pierres précieuses comme l’or ? On y ramassait des diamants à terre, il y avait des fruits exotiques et des animaux de toute espèce. Maintenant, il y a des déserts partout, on cherche un peu d’or dans des mines, les animaux sont de plus en plus rares, les espèces disparaissent et on va les voir dans des réserves. La grande glace fond aux pôles.
Même là-bas, au bout de la terre, au fin fond du monde glacé, vers l’inconnu où l’homme ne s’aventure pas, l’industriel se fait ressentir. Elle réchauffe la terre, elle détruit sa protection thermique naturelle, et les radiations du soleil commencent à nous frapper, un trou dans l’ozone, tout ça à cause de notre langue et de leur profit.